Joker in the pack - Punk Rock Magazine

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Get your gun – Spleen nordique

Le six juin dernier, ils étaient en première partie d’Archie Bronson Outfit. Et autant vous dire que sur scène comme en disque, entre les deux groupes, il n’y a aucune comparaison. Si l’un évoque immédiatement les couleurs musicales du psychédélisme, l’autre s’engouffre dans les grondements sombres de l’âme.

Leur premier album « The Worrying Kid », à peine sorti a reçu les honneurs un peu partout en Europe. En France, Libération leur a même consacré une double page culture alors que peut-être quelques mélomanes n’a entendu leur single « Black Book ». C’est dire. Le mystère qui plane sur ce trio ne demandait donc qu’à être révélé. Quitte à plonger dans une mélancolie nordique pour saisir leur essence ; autant le faire en noir, et c’est de cette couleur vêtue que j’ai rejoint dans une brasserie parisienne, Simon Westmark, Andreas et Soren. La barbe touffue comme un mormon, Andreas, lui aussi préférant le noir, même par 30 degrés, évoque Nick Cave ou encore Timber Timbre comme influence. On les retrouve cet automne en tournée européenne.

Vous serez en concert le 30 Octobre à l’International à Paris, après une date en juin, pour la sortie de votre nouvel album ; comment percevez-vous votre arrivée en France?

Andreas /lead singer : Je pense que c’était en quelque sorte un avant goût pour notre tournée d’automne. C’était une belle surprise de voir également une publication dans un journal aussi réputé que Libération pour nous, jeune groupe qui n’avons quasiment jamais joué en France ! Et même pour notre équipe de communication : Boogie drugstore qui s’occupe de notre promotion ici. Mais ce n’est pas notre première fois en France, en réalité, je me souviens maintenant que nous avons déjà joué aux Transmusicales de Rennes. A l’époque nous avions à peine un Ep et maintenant nous revenons avec un album. Simon, qui âgé à peine de 18 ans devait réaliser son deuxième concert et encore ! Depuis, on a tourné en Russie, dans notre pays et en Scandinavie et on a même été dans plusieurs grands festivals là-bas, puis en Belgique et Norvège. La plupart du temps en Europe du Nord et de l’Est alors c’est vrai que la France, c’est tout nouveau pour nous et maintenant que l’album est bien accueilli en Finlande on a envie de voir comment cela peut évoluer ailleurs.

Get Your Gun a un univers et une ambiance musicale bien particuliers, comment les décrire?

On fait du rock très noir, lent et noisy, avec beaucoup de répétitions, ce qui ajoute une cadence et une tension voulues. On touche aussi un peu au stoner rock. Etrangement, beaucoup de gens à nos débuts nous rapprochaient de Nick Cave. Pourtant quand on a commencé à jouer ensemble on n’avait aucune idée du style que l’on voulait et où cela nous mènerait. C’est difficile de poser des mots sur sa musique mais une chose est sûre : c’est que c’est du rock sombre. Lent, lourd mais allant de soi.

On qualifie votre musique de  « Nordique Mélancolie », est-ce vrai?

Oui définitivement. C’est très noir et on fait attention à ce que cela soit aussi noir qu’intense. On veut créer un lien entre un rock puissant et fort et l’intensité qu’on y amène.Car tout concerne la tension. Une tension quasi psychotique entre les parties lentes et plus lourdes. Il y a un peu de cela, oui. Cette ambiance, vient certainement de nos origines danoises. Il n’ y a pas tellement de gens chez nous et lorsque tu ne joues pas au football ou autres, tu es un peu à part. Cette idée de ne pas rentrer dans les codes, doit avoir un effet, même si tu n’es pas pour autant exclu du pays. Au contraire, cette sensation en fait partie. C’est difficile de te regarder avec assez de recul …mais je pense que l’on sonne comme notre ville Copenhague, qui est une partie de nous.

Vous avez aussi des tentations folk dans cet album…tu peux nous en dire plus ?

J’aime vraiment la country et je pense que les gars et moi on est tous des fans de ce genre comme de Nick Cave.Ce qui est fou avec cette musique c’est qu’elle recèle parfois les paroles les plus tristes jamais entendues et cela avec uniquement une guitare folk et des airs peu sombres. Les musiques ne le sont pas forcément, souvent elles sont simples, mais extrêmement noires. Il y a beaucoup d’honnêteté dans la country et la folk. Il y a aussi beaucoup d’histoires et ça me plait d’en raconter.

Comment créer cette ambiance si particulière ?

Principalement parce qu’on ne change pas nos cordes si régulièrement. On utilise quoi, trois cordes au plus. Sincèrement, cela y joue. J’aime bien explorer une chose, un élément musical, un thème… et rester sur cela afin de l’approfondir, au lieu de passer à quelque chose d’autre, de plus frais. De ce fait, tu t’engouffres dans cela d’une façon qui plonge la musique. Cela devient dur. D’ailleurs, c’est plus par le son et la tension qu’il regorge que les structures et changements de nos compositions que l’on créé cette atmosphère. Et honnêtement cela relève de quelque chose de vraiment simple. Bien sur on pense à ce que l’on fait techniquement, on veut jouer correctement quand on enregistre, on est pas un jam band non plus. Mais on ne s’accroche pas jusqu’au dernier détail, et ça n’a pas à être parfait mais tendu. On fait la basse, guitare et la batterie , et ensuite on prend le meilleur.

Tout en gardant un certain contrôle. Quelque fois tu aimes qu’une chanson s’en aille d’elle même. En même temps la musique se concentre principalement autour de cette idée de perdre le contrôle alors qu’au fond, tout est souvent sous contrôle. C’est paradoxal.

Que révèle ce titre, selon vous ?

La frustration que concentre notre société moderne me fascinait. Cette chanson est à propos de tous ce que l’on a à s’inquiéter à propos de moi et tout le monde. Je voudrais dire on a jamais été un groupe politique mais c’est plutôt tout ce qui nous entoure. Ce titre ce qu’il révèle, c’est une bonne question. C’est un sujet universel. Je ressens cela ainsi, ce n ‘est pas universel ni un concept. Je pense qu’on a tellement de choses à s’inquiéter, il y a ceux qui sont en stagnation, d’autres tabous je pense que le plus gros tabou de notre société est l’éducation, j’ai l’impression que dans la société on ne peut pas parler de tout ce qui nous oppresse et d’agressivité, on ne doit pas en parler et tout laisser de côté. J’ai toujours été inspiré par ces choses autour de moi mais je n’en ai pas vraiment conscience, c’est plus comme un fléau qui te poursuit constamment et qui se place dans mes textes inconsciemment.

Tiphaine Deraison

#Vidéo Clip : The Sedan Vault

Avec une sortie le 27 avril prochain, The Sedan Vault fait son retour. Six ans se sont écoulés mais voilà le groupe qui revient avec un album dénommé:“Minutes To Midnight” et produit par Richard Woodcraft (Radiohead, Last Shadow Puppets, Arctic Monkeys).

La vidéo de Everything is Everything ici :

TOUCHE AMORE : « Is Survived By » l’album qu’on attendait

Interview parue dans ABUS DANGEREUX # 129 – Interview en version intégrale (plus de 40 minutes d’entretien  & réalisée à LA lors de la release party du groupe en octobre 2013 – à venir dans la version papier du jIP #5)

Amorcé en 2007, le groupe de Los Angeles, n’en démord pas. Il est l’héritier d’un emo-core 90’s cinglant et profond.

Mêlant les ravages heavy de guitares à la fois influencées par Converge et Thursday, aujourd’hui « Is survived by » est le troisième album du combo de Los Angeles. Un album qui perce et reflète, toujours plus cet état d’esprit singulier. « Parting the sea between brightness and me » sorti en 2011, les avait propulsé le long des routes et surtout affirmés sur un label très rauque : Deathwish records. Le label de Jacob Bannon de Converge. Sans larmoyance, Touche Amore pousse un cri qui n’en finit plus de retentir, écho après écho, cirque de montagne en désert du Nevada, il se répercute jusqu’à en faire la première partie de groupe tel American Nightmare ou AFI.

En découvrant Is Survived By, je me suis tout de suite demandée, d’où venait le titre. Jeremy à rit, en me disant : « En soi ça ne veut rien dire. Mais c’est un appel au futur plus qu’un titre négatif. J’ai vu cette expression dans les journaux, tu sais dans la rubrique nécrologie. Lorsque les familles annoncent un décès on écrit « M.Untel laisse derrière lui (is survived by) son fils et sa fille Untel… », c’est à la fois certes, une référence à la mort mais surtout à ceux qui nous survivent, et donc qui gardent notre mémoire. Ceux qu’on laisse derrière nous… ». Jamais un groupe n’aura provoqué un tel tremblement de terre. Piano Become The Teeth, serait peut-être un de ceux qui les rejoindrait les mieux sur scène. Mais une chose n’en égale pas une autre, et Jeremy Bolm, n’a d’égal que lui-même. Atypique, le personnage n’en ai pas moins sincère. « True » comme disent les américains. Un être qui dérange les hypocrites par tant de candeur cachées derrière une voix dantesque.

TA

Punk News a écrit une chronique de ce nouvel album en disant que toi, Jeremy – lead singer, tu rend cet album très spécialement profond par ce que tu dégages dans ta voix, une vulnérabilité et une sensibilité certaine », cette phrase m’a fait écho, j’aimerai savoir ce que tu en penses ?

Jeremy Bolm : c’est flatteur, c’est vrai que c’est un disque très personnel. Si ils ont en plus ressenti cela en écoutant notre disque je suis content que c’est ce qu’ils en ont conclu.

C’en était le but ?

J : Oui tout a fait, j’ai jamais écris une chanson à laquelle je n’étais pas émotionnellement attachée. Je ne voudrais pas prendre quelque chose à ceux qui l’écoutent, j’aurai la sensation de les voler par manque d’honnêteté car je n’aurai pas été complètement honnète avec eux. Je veux donner autant que possible car le public me donne un peu de son temps, c’est la moindre des choses à faire en retour. Dans la composition également c’est important de donner autant que l’on peut.

Vos influences semblent se rapprocher de groupes comme Thursday, comment vous ont-ils influencés ?

J : C’est un groupe que j’ai découvert quand j’avais 17 ans. Dès les premières chansons que j’ai entendu d’eux je suis complètement tombé amoureux. Ils m’ont influencé dans beaucoup de voies différentes aussi bien musicalement que dans les paroles et leur façon d’être. Je les ai rencontrés sur une de leur première tournée californienne. Il ouvraient pour quatre groupes dont Murder City devils. Ils jouaient à peu près devant 30 gamins ! Je les ai rencontrés ce soir-là c’est comme si une amitié à commencé avec eux. Aujourd’hui, ils sont toujours ceux que j’avais rencontrés. Je les ai vu aller au travers de la popularité comme de l’adversité. Lorsque tu fais un disque qui n’est pas bien apprécié par exemple. Je les ai vu durant presque leur entière carrière et ils sont restés identiques à eux-mêmes. Humbles, gentils et attentionnés c’est inspirant de voir cela car tu sais avec le temps ils pourraient m’oublier ou quoi et avancer ou oublier notre amitié car ils jouent dans de grosses salles etc. Mais ce n’est pas le cas. Il sont vraiment important pour moi et c’est aussi pour ce respect que j’apprécie d’autant plus ce groupe. On réfléchit beaucoup à ce que l’on fait en tant que groupe à cause d’eux.

C’est important, de rester humble comme cela ? Car vous avez eu ces dernières années une grosse évolution !

J : Oui, absolument. L’idée de ne pas l’être m’est bizarre. Comment quelqu’un peu être égoïste ou avoir la grosse tête à cause du succès de son groupe ? Pourquoi quelqu’un serait agressif ou malpoli envers quelqu’un qui écoute sa musique ? Ils agissent comme si tu les ennuyais par exemple alors que c’est tellement l’opposé de ce que l’on veut faire : juste trainer, parler et donner autant que l’on peut. Pour moi ça , c’est logique.

On vous représente parfois dans les médias comme un « hipster band » alors que vous semblez totalement opposé à cela, cela vous fait quoi ?

J : mais en même temps, quel groupe de hardcore s’est vu être accepté en dehors de cette communauté ? Pour tous ceux qui ne connaissent pas cela peut être étiqueté « hipster band ». Je pense que ces remarques viennent le plus souvent par jalousie. Les gens aiment pointer du doigt, critiquer et enfoncer les autres dès qu’ils peuvent, peut-être parce qu’ils ne se sentent pas acceptés de la manière dont ils sont. Peu m’importe qui écoute notre groupe, on l’accepté et que se soit un métaleux, un mec qui écoute du hip hop ou un gars qui écoute exclusivement Mumford & sons. Je dis juste merci, on apprécie beaucoup. Je n’ai pas non plus besoin d’avoir une audience uniquement punk/hardcore et de m’entêter à bousculer des idées arrêtées et je n’irai pas très loin avec ça. Je veux faire de la musique entendu par autant de gens que possible. Tout le monde veut s’éclater dans un groupe après tout, et tout le monde devrait en faire un !

Discographie :

…To the Beat of a Dead Horse (2009)

Parting the Sea Between Brightness and Me (2011, Deathwish)

Is Survived By (2013, Deathwish)

EPs

Demo (2008, No Sleep)

Searching for a Pulse/The Worth of the World (split with La Dispute) (2010, No Sleep)

Touché Amoré / Make Do and Mend (split with Make Do and Mend) (2010, 6131/Panic)

Touché Amoré / The Casket Lottery (split with The Casket Lottery) (2012, No Sleep)

Touché Amoré / Pianos Become the Teeth (split with Pianos Become the Teeth) (2013, Deathwish/Topshelf)

Touché Amoré / Title Fight (split with Title Fight) split (2013, Sea Legs)

Brutality will Prevail en concert le 2 janvier @ Tours

 

2 JANVIER 2014On fait le nouvel an en mosh pit
(finit la compagnie créole et les cotillons)

Joker in the pack vous propose de voir en live le nouveau :

BRUTALITY WILL PREVAIL
England – UK « belongs to me »
lourd, oppressant et dansant (un peu comme la danse des canards, en mieux :P)
down tempo hardcore

site web >>http://www.brutalitywillprevail.co.uk/
youtube>>http://www.youtube.com/watch?v=ssIQu2TXpeU

+

DIREWOLVES
Metalcore doomy & sludgy
(Brest & Lorient avec les coupains !)
Avec un nouvel album en prime !!!

bandcamp >>http://direwolves.bandcamp.com/
youtube>>http://www.youtube.com/watch?v=fUDiXp1EUQg

+ HORROR VACUI
(hardcore de gros méchants façon Converge – Toulouse)
horrorvacuihc.bandcamp.com

+ CRACKHOUSE
Local guest
stoner heavy rock
https://www.facebook.com/pages/Crackhouse/159552640860887?fref=ts

P.A.F = 6€ en prévente ! (on vous le conseille vivement :P) merci
8€ sur place !

Prévente : paypal @ jokerinthepack@hotmail.fr
mettre votre nom+prenom et les noms de tout ceux qui prennent une place

ou par chèque – email : jokerinthepack@hotmail.fr

ou envoyer un mail et on se débrouille ! Les tourangeaux : je serai présente pour les présente dès le 27 décembre.

20h00 – merci d’être à l’heure et puis c’est cool de voir tout le concert & même les premières parties.

Distro sur place :
DIRTY GUYS ROCK
JOKER IN THE PACK

 

BWP-SPAIN-FRANCE

The Story So Far – La relève pop punk au goût de « california sun »

the story so far

The Story so far

« Under…California Sun »

A Meerhout, chaque année depuis 1992 le dernier week-end d’avril transforme tout un champs verdoyante en joyeux bordel. L’évènement qui ne connaissait qu’une petite fréquentation de quelques centaines de personnes à ses débuts, rassemble actuellement plusieurs milliers de festivaliers venant des quatre coins de l’Europe. Au total 40 000 festivaliers sur deux jours venant de Belgique, des Pays-Bas, d’Allemagne, de France, d’Espagne, d’Autriche, de Suisse, de Russie, d’Italie, entre autres,. Avec cinq scènes au total le festival est le moment de fêter le printemps en compagnie des meilleurs dans une ambiance bon enfant. Cette année 2013 encore, on a pu apprécier les live de : Rise Against, Bad Religion, Pennywise, Hatebreed, Comeback kid et les tout jeunes The Story so far!

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Interview : Verse- Bitter Clarity Uncommon Grace

Suffering to live, scared of love

VERSE

Après Aggression sorti en 2009 Providence voit renaitre de ses cendres l’âme égarée du modern hardcore. Avec Bitter Clarity, Uncommon Grace,le groupe signe un retour frais et puissant.

Agression était aux prémices d’une nouvelles vague modern hardcore lors de sa sortie en 2009. Il s’est ajouté à toute une vague de groupes comme Defeater et autres Have Heart dans son sillon. Pourtant la dissolution du groupe fut des plus frustrante pour un public qui n’a jamais eut l’occasion d’ apprécrier l’album en live. Une perle energique, osant le mélange d’ambiances aux paroles engagées et aux titres intenses. Trois ans plus tard, le groupe se reforme. Ils reviennent dans la foulée avec Bitter Carity, Uncommon grace.

76_VersePromo-Todd Pollock-03

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Interview – Dallas Green « Little Bird » third album from the project City & Colour – ABUS DANGEREUX itw (dec2011)

City & Colour

cityandcolour_3_ Credit Vanessa Heins

Près pour une escapade dans les profondes tourmentes de l’âme? Little Hell, est le troisième album du chanteur mélodique d’Alexisonfire. La voix de Dallas Green, puissante de pureté traverse les peurs et angoisses avec autant de délicatesse que de justesse pour décrire ce petit enfer qu’est la vie.

Son deuxième album aux arrangement plus folk et country (surtout en live) prouve le talent de Dallas Green en tant que folk singer. Little Hell est un petit paradis de mélancolie. Aussi pur que la voix de ce chanteur hors pair, c’est un album composé à plusieurs : entre rock folk et country. Un projet qui sonne aussi la fin de sa participation à Alexisonfire – au punk hardcore mélodique ultra énergique.

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CONCERT GARAGE @ LIMOGES

concert 22 mars

concert 22 mars

VIBRAFINGERS / TOURS
garage punk

ARNO DE CEA & THE CLOCKWORK WIZZARD / BDX
surf’n’roll (avec des membres de THE IRRADIATES)

HEAVY HOOKERS / LIMOGES
punk ‘n’roll

P.A.F : 5 €
12 PLACE D’AINE

LIMOGES

21H00

JIP ORGA

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UNCOMMONMENFROMARS @ LIMOGES LE 19 MARS PROCHAIN !!!

UNCOMMONMENFROMARS  @ LIMOGES LE 19 MARS PROCHAIN !!!

Uncommonmenfromars // Punk rock heroes !
Ils reviennent avec Easy Cure un spetième album qui fait plus de bien qu’une Thalasso ! Pire c’est du pure punk rock en dose ultra dynamique à prendre tout les jours ! Toujours avec humour ils font le pont entre leurs meilleurs albums pour une production aux titres fast et mélo tout ce qu’on aime ! Les rejetons de NOFX par excellence seront donc à Limoges pour une grande soirée, bien remplie et qui ne demande que votre présence pour enflammer les mics et crier avec eux « Skate hurts more over 30 years old !!! »

Skate to hell…Bordel !

http://www.facebook.com/UncommonMenFromMars?fref=ts

Inside Riot // Punk rock mélo de Montréal
Ils sont jeunes et pour le moins déterminés. Entre leur première démo à la couverture moins bien dessinée que les tableaux de ma nièce de deux ans et demi, jusqu’à maintenant, leur 45 T de l’été dernier et leur prochain album, Inside Riot s’est vu grandir techniquement parlant, et musicalement c’est frais rageur et ultra mélodique – le tout en anglais car ils ne sont pas tant Québécois que Canadiens anglais, et pour résumer musicalement c’est la même , une passion commune pour une vitesse de bolide punk rock californien ! Excellent !

Topsy Turvy’s // Les Aliens n’ont pas encore atterries et pourtant ils ont déjà balancé quelques OVNI pour reprérer le terrain ! The Story of my life…C’est aussi l’histoire de Topsy Turvys qui se croie venu d’ailleurs ! Ils jouent des mélodies, sont imperturbables dans leurs influences pop punk à la Blink 182° et leurs textes skate or die, bref ! Ca reste en tête et ça devient vraiment perturbant ! les MIB du punk rock sont de poitiers et nous ravagent la mémoire avec un laser de mélo ! A s’en arracher les cordes…vocales !


P.A.F : 8 €

JOKER IN THE PACK ORGA

ZIC ZINC
12 PLACE D’AINE
21H00 TAPANTE 🙂

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INTENABLE + SERIE Z EN CONCERT ! le 11 JANVIER 2013

intenableWEBcouleur

LE 11 JANVIER CONCERT JOKER IN THE PACK

AU ZIC ZINC  @ LIMOGES

Le pop punk français n’a pas fini de nous surprendre, sombre & naif à la fois avec Intenable c’est la cour des grands qui en prend pour son grade ! Fini la loie du plus fort, les riffs sont lourds & énergiques ,accrocheurs et les titres ne nous laissent aucun répis dans les compositions. Intenable ouvrent encore plus le champs du punk rock français. Aprés l’univers maladroit geek & débilos lancé par les 90s sous l’égide de Blink 182°, ils compilent l’émotion et la désillusion énervée avec des mélodies punchy. C’est bien parce que tout ce qui nous entoure peut parfois être intenable et qu’on sent le poids de nos échec avec mention, qu’on se sent aussi rpoche de la musique que joue ce trio bordelais. Avec des membres de Nina’School et Helltons.

http://intenable.bandcamp.com/

+ Serie Z

http://serie-z.bandcamp.com/

punk rock de châteauroux  !

P.A.F : 4 €

ZIC ZINC _ 12 PLACE D’AISNE _ LIMOGES

On vous y attend !

24 ème  concert J.I.P !

http://www.facebook.com/events/132872276865846/

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Consequence

Music, Film, TV and Pop Culture News for the Mainstream and Underground

Afrique : Aller (pas) simple

De Dakar au Cap, un voyage au rythme des transports africains / From Dakar to Cape Town, reporting about the importance of transport in Africa

Tiphaine Deraison

Writer /Journaliste

Legends Arising

An Inspiring Hardcore Community